La santé par le prana, en phase avec les lois de la nature
En toute logique et d’une manière globale, le prana devrait pouvoir pallier à tous les maux qui nous accablent. Ceux-ci n’étant que les conséquences de nos transgressions des lois naturelles, il est facile d’imaginer qu’il suffirait de se remettre en phase avec la nature pour que l’harmonie revienne. Une simple histoire de bon sens en somme !
Pour l’heure, la grande majorité de l’humanité est assujettie à une nomenclature impressionnante de pathologies dont certaines formes prédominent et vont s’accentuant, sans trouver véritablement de remèdes puisque de fait, ceux qui pourraient s’en charger sont tournés vers le profit que génère le commerce de la maladie.
Avant que d’élever sa conscience au sens véritable et profond du processus de la nourriture pranique, le prana s’offre comme une alternative mesurable quant aux effets constatés sur les personnes qui s’en nourissent.
Quelques pistes…
Prana et déprime
La déprime, indice courant de nos jours, témoigne de la morosité ambiante, signe des temps où le burlesque fait place au pathétique. Ayant tout pour être heureux, l’homme s’évertue à sonder les profondeurs de la souffrance. Il en déprime. Quoi de plus naturel ? Aurait-on idée de jeter un filet à la mer et s’attendre à en tirer une chèvre ?
Au delà de ces considérations de causes à effets dont les techniques pour remédier aux incidences sont innombrables autant qu’ancestrales, la démarche pranique lance un pont gigantesque sur l’abîme ouvert qui sépare la rive du départ et l’autre bord.
Bien évidemment il ne s’agira pas simplement d’une recette appliquée qui résoudrait le problème globalement mais bien la manière dont on aura vécu le protocole qui possiblement enclenchera le processus de la nourriture pranique.
La déprime est un chemin de descente à l’obscurité dirons-nous, tandis que le prana est une énergie qui ouvre à la lumière. Dans la relation corps esprit, le prana mène à l’entendement et purifie. Sans plus d’ingestion de pollutions, plus de déséquilibres…
L’esprit enfin relié à la lumière produit l’intelligence du coeur, chassant les miasmes de l’illusion multiforme qui par défaut mène à l’affaiblissement, au profit des ors du ciel qui à l’âme font briller l’éclat vivant de l’éternité qui nous anime.
On entre en déprime par ignorance et on en sort par la connaissance !
Toute pratique intermédiaire n’est que pansement sur jambe de bois…
Prana et électrosensibilité
Pour avoir testé ma capacité à n’être aucunement incommodé par certaines sources électromagnétiques, j’ai l’assurance de penser que mon état pranique me préserve, par la résistance qu’il me procure, de certains facteurs extérieurs nocifs et que mes défenses immunitaires sont au plus haut par conséquent, face aux nuisances extérieures je reprendrais à nouveau cette formule : “le microbe n’est rien, le terrain est tout !”
Comme on s’accorde à douter des personnes qui ont vécu ou qui vivent actuellement en mode pranique, on peut continuer de penser que celles qui souffrent d’électrosensibilité ne puissent pas trouver de remède à leurs souffrances. Pour ma part j’ai cette intuition que le mode pranique peut être une solution au problème de l’électro sensibilité. Reste à en faire l’expérience !
J’ai fais passé l’information que je me propose d’accompagner bénévolement à la démarche pranique, un groupe de personnes électro sensibles.
Pour l’heure aucune réponse !
Prana et anorexie
Les souffrances liées à cet état, dont on voit manifestement l’incidence directe sur le corps physique sont égales à l’imposture du dénie de vie qu’on s’inflige pour promouvoir sa révolte. La spirale des causes liées à l’anorexie nous entraîne dans un abîme sans fond, aussi force et de constater la faiblesse des résultats obtenus à partir des pratiques actuelles tentant de pallier à l’anormalité des sujets concernés, sans y parvenir d’ailleurs malgré l’arsenal chimico-thérapeutique dédié.
Le prana, sans autre forme que celle contenue dans le souffle, possiblement viendrait poser ses effets d’harmonique quantique au coeur même de la formulation de l’intention destructrice qui pousse l’anorexique à exprimer son désarroi, son mal être né d’une contradiction difficile à contenir dans ses excès.
L’anorexie : une forme parente du sillon de la nourriture pranique ? Pourquoi pas ? L’une en contraire de l’autre ! Le processus pranique donnerait pour le moins une bonne raison s’il en est, aux personnes anorexiques, de ne plus se remplir de matière pour ensuite la renier en vomissant. Le prana ne se vomit pas !
La matière, constituant légendaire des forces mécaniques qui gardent la vie, ne faisant plus son office lorsque elle est absente, porte inexorablement semble-t-il, les personnes anorexiques à un état d’affaiblissement extrême puisqu’elles ne gardent rien tout en épuisant leurs réserves.
Le prana viendrait combler avantageusement les réserves perdues, les reconstituant au moindre encombrement d’une part, et exemptes de toute pollution d’autre part, pour le plus grand bénéfice de la personne.
L’idée absente du vomir après avoir mangé ne trouve plus d’appui et s’efface alors, entraînant par voie de conséquences le fil sournois des causes profondes qui le tendait.
Prana et obésité
Ici encore mille causes pour un même effet, facile à reconnaître tant il verse à l’abondance l’expression extrême du volume qu’on lui concède. Encore un effet de la sacro-sainte croissance sans doute qui pour le coup n’est plus économique mais dispendieuse !!!
Sur le droit fil de toutes les causes qui engendrent un tel débordement de matière sur une même personne, le prana vient en antidote qui pose, par une même force contraire cette fois, l’exigence d’une forme à conquérir durablement en l’esprit d’une harmonie restaurée.
Retrouver un autre mode de fonctionnement du métabolisme c’est s’abstraire aussi des contraintes de genre qui poussent par les causes qui les inventent, la personne dans un appétit d’ogre. La nourriture pranique est à la mesure de chacun et d’une subtilité sans égale à tel point qu’on à difficile à imaginer l’avenir possible dévolue à la créature humaine dans son accomplissement. Par le prana, l’équilibre restauré anéantit toute velléité de distorsion disharmonieuse. Le corps s’affine autant que l’esprit et la matière est maîtrisée.
L’équivalent en masse de chaire perdue se déclare de même pour les brumes aveuglantes de l’esprit. Dans une interaction dynamique et visiblement harmonieuse, le prana rend solidaires le corps et l’esprit.
Sur le plan physique, les douze jours de protocole mènent à minima à une réduction de trente pour cent du poids excédentaire. Le reste, jusqu’à l’équilibre d’un poids idéalement harmonisé, se délite en douceur au fil des jours dans la continuité des effets du processus de la nourriture pranique…
praniquement vôtre
Domenico
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