Témoignage de Marlène, processus pranique 2014

Marlène a suivi le processus de la nourriture pranique avec Domenico en septembre 2014. Voici son témoignage 10 semaines après ce processus, le 10 décembre.
J’ai gardé intégralement la forme de son texte, même s’il était 
adressé sous forme d’un email de nouvelle à tous les stagiaires de la nourriture pranique…

Bonjour les petits loups d’amour lumineux,

Quelques mots pour vous donner des nouvelles  et vous assurer de mon soutien et de votre présence dans mon cœur.

Merci à tous les partages, ces élans de sincérité, d’humilité, de doutes mais aussi de détermination.

Pour être certaine de ne pas oublier tout ce que notre Cher Domenico m’a enseigné, j’ai mis sa photo en fond d’écran sur mon ordinateur. Je ne peux plus l’oublier, il est présent tout le temps. Il me regarde et me dit : « Alors, Marlène, où en es-tu de l’effort joyeux ? » C’était une belle idée car je me sens accompagnée dans la démarche et cette photo me ramène sans cesse à mon engagement.

Je continue le prâna dans l’amour, sans violence. En tout cas le moins possible.  Je me suis offert un repas qui m’a permis de voir que les symptômes, complètement disparus avec la nourriture prânique, reviennent aussitôt (articulation, courbatures). J’ai vu aussi que cela réveille des mémoires, et qu’après cela  les premières sensations de faim apparaissaient.  Jusque-là je ne l’avais jamais ressenti.unnamed

Comme je ne me prends pas pour mon corps, je peux facilement prendre soin de lui  et suis en train d’en faire un outil au mieux de sa forme pour réaliser les projets qui me tiennent à cœur maintenant.

Je parle à tous du prâna et viens de demander à un restaurateur de me faire un bouillon et un sorbet pour accompagner des amis au restaurant. Ca déroute tout le monde mais c’est rigolo !

Pour partager mon expérience et faire connaitre le prâna, je donne une conférence en début d’année. J’ai commencé l’écriture d’un livre qui parle d’un chemin qui va de l’incessante recherche de la nourriture affective à travers l’alimentation, à la liberté retrouvée en se délectant de nourriture prânique.

Pour moi, c’est bien clair, ce qui me nourrit : l’amour. Si je ne me sens pas nourrie, c’est que je n’ai pas assez donné,  je ne suis pas assez ouverte,  j’ai pensé au petit moi au lieu de prendre soin de l’autre.

L’état de grâce dans lequel le prâna me maintient m’invite avec évidence à choisir de conserver ce type de nourriture. J’attire à moi une éditrice qui me reçoit chez elle pour que je prenne le temps d’écrire, un corps qui fait EN VIE et qui, de ce fait incite les gens à me poser des questions et à s’intéresser au mode prânique, une lucidité qui me permet de faire les papiers administratifs la nuit et d’aller m’aérer et saluer le soleil la journée, une grande disponibilité offerte par la courte durée des nuitées (tous mes cadeaux de Noël sont déjà prêts ! si si !).

Choisir la nourriture prânique représente pour moi  le choix du silence dans lequel la voix de Dieu peut être entendue.

Le corps rajeuni, ma silhouette est celle d‘une jeune fille (stabilisée à 50 kilos) mais au-delà de cela, j’expérimente l’innocence de la jeunesse, cette pureté qui ignore la peur, cet élan spontané et généreux vierge de toute écorchure. Je reçois ce nouvel état comme un cadeau immense, une deuxième chance, celle qui me permet de choisir en conscience de mettre ce corps et les efforts qu’il produit au service d’un autre but : la Vérité, la Vie. Les sens sont toujours en éveil mais recherchent maintenant les témoins de ce qui est vrai.

Sentiment d’avoir rangé les jouets d’enfants qui me maintenaient dans l’oubli du Père et de retourner dans l’unique demeure : Ses bras .

Merci Domenico d’avoir été l’exemple vivant de ce Père bienveillant, attentif, aimant.  Je m’en remets à Lui complètement.

Avant-hier je t’ai eu au téléphone et tu m’as parlé d’actions. Après cet entretien j’ai reçu non pas un mais deux rappels du mouvement COLIBRIS dont la raison d’être est la mobilisation pour la construction d’une société écologique et humaine.  Je suis convaincue que la transformation de la société est totalement subordonnée au changement humain. Alors OUI, je vais faire ma part, comme le Colibri, plutôt deux fois qu’une si j’en crois le message reçu par l’arrivée de ces deux plaquettes…

Allez au boulot, effort joyeux ! L’existence prend tout son sens, sinon, à quoi ça sert….

Offrir au monde la plus belle version de soi-même.

Ma joie doit être complète pour que Son plan soit compris de ceux à qui Il m’envoie. Ils verront leurs fonctions dans mon visage rayonnant et ils entendront Dieu les appeler dans mon rire heureux. Ah, le rire ! Sans mon rire, nul ne rit, parce que tout rire ne peut être que l’écho du mien. Et cela, c’est MON CHOIX !

Offrir au monde la plus belle version du Soi.

P.S : quelques réflexions à paraitre dans le livre qui s’écrit en ce moment. Elles peuvent peut-être vous accompagner avec tendresse….

La TENTATION : elle voudrait me persuader que je suis un corps incapable d’échapper à sa fragilité et lié par ce qu’il lui ordonne de ressentir, né dans ce qui doit mourir.

LE CHOIX : il se situe entre ma faiblesse et la force du Christ en moi.

Ce que je choisis est ce que je pense réel. En n’utilisant pas ma faiblesse pour diriger mes actions, je ne lui donne aucun pouvoir. Et la lumière du Christ peut opérer dans tout ce que je fais.

L’EPREUVE  n’est  qu’une leçon non apprise, c’est-à-dire un mauvais choix entrainant de la douleur.

C’est donc aussi une opportunité, une occasion de faire un nouveau choix.

Accueillir la tentation, ne pas en avoir peur, la voir telle qu’elle est : une autre chance de choisir à nouveau, de choisir Sa force plutôt que ma faiblesse, vue à part de Lui. Partout, tout le temps, avec tout, avec tous.

Je suis telle que Dieu m’a créée, comment pourrais-je être faible et misérable ? Comment pourrais-je souffrir ? Une seule essence créatrice pour tout l’univers : l’Amour. Je ne suis donc qu’amour, le reste est illusion. Ne plus entretenir l’illusion, c’est la laisser fondre .
Chacun de mes choix établit ma propre identité telle que je la verrai, telle que je la croirai.

Ni pêché, ni culpabilité. Ce sont les moyens par lesquels l’esprit est rendu fou et cherche à laisser les illusions prendre la place de la Vérité.

Accueillir la tentation et aller au-delà.

Porter mon regard déterminé vers la lumière qui luit avec une parfaite constance. (De cet objectif découle tous les autres…)

Ainsi la tante Athion ne vient plus te rendre visite à l’improviste et l’épreuve devient les preuves que tu as compris la leçon……

Je nous aime

De toute ma lumière,

Marlène, Prâniquement vôtre.

Marlène GG,
Facilitatrice de Vie.

 

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